Aujourd’hui, sauvegarder l’environnement et assurer une meilleure maîtrise de la consommation des espaces verts et agricoles sont des objectifs partagés par le Conseil Régional, l’État et le Conseil Économique et Social de la Région Île-de-France. Au sein d’une agglomération toujours plus dense, il est nécessaire de protéger durablement les espaces ouverts pour y « reconstruire » de l’espace public, accessible à tous.
Cela est particulièrement vrai pour le département de la Seine-Saint-Denis qui manquent cruellement de sites protégés et aménagés pour les populations les plus diverses et les plus démunies. La Seine-Saint-Denis ne compte en effet que deux sites classés (Parc Forestier de la poudrerie de Sevran et les Murs à Pêches), quand le reste de l’Île-de-France en compte 111.
Accéder à la nature en ville, c‘est aussi développer un imaginaire urbain de qualité, solidaire, a contrario de celui qui est lié au pavillonnaire. Ici, nous avons la chance de pouvoir créer un pôle de tourisme agricole et culturel dans des parcelles cultivées de murs à pêches restaurés, en partenariat avec la Région, les arboriculteurs franciliens et les organismes qui œuvrent dans les domaines culturel, pédagogique, patrimonial et environnemental.
Le vignoble francilien avait décliné bien avant l’arboriculture (dès le 19ème siècle) et avait disparu dès les années 1940. Cependant, l’association Vignerons Franciliens Réunis a relancé la culture de la vigne, et a pour cela obtenu un fort soutien de la Région au motif qu’il s’agit d’un « vignoble public à caractère culturel, patrimonial et pédagogique ». Les mêmes objectifs pourraient produire les mêmes effets pour les Murs à Pêches – il suffit de remplacer « vigne » par « verger ».
Enfin, le trop-plein de population et d'industries de la ville de Paris s'est déversé sur la banlieue, en gommant l'identité originale des communes et des territoires. Ce projet permet la reconquête de l’identité de ce territoire et un rééquilibrage est-ouest de la région Île-de-France, en passant par le renforcement de la cohésion sociale.
Cela est particulièrement vrai pour le département de la Seine-Saint-Denis qui manquent cruellement de sites protégés et aménagés pour les populations les plus diverses et les plus démunies. La Seine-Saint-Denis ne compte en effet que deux sites classés (Parc Forestier de la poudrerie de Sevran et les Murs à Pêches), quand le reste de l’Île-de-France en compte 111.
Accéder à la nature en ville, c‘est aussi développer un imaginaire urbain de qualité, solidaire, a contrario de celui qui est lié au pavillonnaire. Ici, nous avons la chance de pouvoir créer un pôle de tourisme agricole et culturel dans des parcelles cultivées de murs à pêches restaurés, en partenariat avec la Région, les arboriculteurs franciliens et les organismes qui œuvrent dans les domaines culturel, pédagogique, patrimonial et environnemental.
Le vignoble francilien avait décliné bien avant l’arboriculture (dès le 19ème siècle) et avait disparu dès les années 1940. Cependant, l’association Vignerons Franciliens Réunis a relancé la culture de la vigne, et a pour cela obtenu un fort soutien de la Région au motif qu’il s’agit d’un « vignoble public à caractère culturel, patrimonial et pédagogique ». Les mêmes objectifs pourraient produire les mêmes effets pour les Murs à Pêches – il suffit de remplacer « vigne » par « verger ».
Enfin, le trop-plein de population et d'industries de la ville de Paris s'est déversé sur la banlieue, en gommant l'identité originale des communes et des territoires. Ce projet permet la reconquête de l’identité de ce territoire et un rééquilibrage est-ouest de la région Île-de-France, en passant par le renforcement de la cohésion sociale.